Du 5 au 9 octobre a eu lieu à Rome, la 15ème conférence internationale sur la fusion froide organisée par l'ENEA de Frascatti:
http://iccf15.frascati.enea.it/
Plus de 120 chercheurs se sont réunis pour échanger leurs connaissances sur cette science qui permettra peut être un jour de mettre en place une source d'énergie illimitée et propre à partir du deutérium contenu dans l'eau.
Cette découverte scientifique annoncée publiquement le 23 mars 1989 par les Professeurs Stan Pons de l'Université de l'Utah et Martin Fleischmann de l'Université de Southampton a été à l'origine d'une grande controverse. La très grande majorité de la communauté scientifique pense que ce phénomène n'existe pas, et que les observations sont erronées. Cependant plusieurs centaines de chercheurs continent à travailler depuis 20 ans sur ce phénomène anormal ayant des retombées scientifiques et industrielles capitales.
jeudi 29 octobre 2009
Prem Rawat à Mutzig
Le 18 juillet 2009, Prem Rawat a donné une conférence devant plus de mille personnes à Mutzig près de Strasbourg. Elle est maintenant visible sur internet à :
http://www.wopg.org/en/webcasts/latest-webcasts
Prem Rawat est un conférencier international qui parcours le monde depuis plus de 40 ans en faisant connaître son message de paix.
http://www.wopg.org/en/webcasts/latest-webcasts
Prem Rawat est un conférencier international qui parcours le monde depuis plus de 40 ans en faisant connaître son message de paix.
samedi 3 octobre 2009
Etudier-récompenser
"Six classes de trois lycées de l’Académie de Créteil expérimenteront un nouveau projet destiné à enrayer l’absentéisme scolaire frappant les établissements professionnels. S’ils respectent des objectifs d’assiduité et de réussite fixés en début d’année, les élèves se verront financer un projet commun décidé en concertation avec l’équipe éducative."
Cette annonce est déconcertante. Il est tout à fait compréhensible que les enseignants soient désemparés devant le niveau très élevé d'absentéisme dans certains lycées professionnels, et faire de l'expérimentation dans l'éducation nationale est une excellente idée. Néanmoins ce type de fonctionnement est dangereux, car on sépare artificiellement l'action de sa récompense. Il est vrai que cela n'a rien de nouveau, puisque la grande majorité des parents récompensent leurs enfants s'ils travaillent bien à l'école. En toute logique la récompense d'une action quelle quelle soit doit provenir de l'action elle-même. Peut être que notre éducation judéo-chrétienne y est pour quelque chose, puisque la charité est faite pour gagner sa place au paradis, alors que la charité devrait être faite pour elle-même.
Enseigner à nos enfants ce type de comportement va les conduire à une frustration permanente, car il n'y aura pas toujours des parents ou une académie pour les récompenser sans aucun rapport avec l'action faite.
Pour lutter contre l'absentéisme scolaire, il faudrait voir de plus près si le public concerné, c'est à dire les élèves suivent un enseignement qui leur corresponde vraiment. Peut être que ce que nous enseignons s'adresse à un élève idéal qui n'existe pas ou peu. C'est en fait une grande remise en cause qu'il est nécessaire de mettre en œuvre.
Cette annonce est déconcertante. Il est tout à fait compréhensible que les enseignants soient désemparés devant le niveau très élevé d'absentéisme dans certains lycées professionnels, et faire de l'expérimentation dans l'éducation nationale est une excellente idée. Néanmoins ce type de fonctionnement est dangereux, car on sépare artificiellement l'action de sa récompense. Il est vrai que cela n'a rien de nouveau, puisque la grande majorité des parents récompensent leurs enfants s'ils travaillent bien à l'école. En toute logique la récompense d'une action quelle quelle soit doit provenir de l'action elle-même. Peut être que notre éducation judéo-chrétienne y est pour quelque chose, puisque la charité est faite pour gagner sa place au paradis, alors que la charité devrait être faite pour elle-même.
Enseigner à nos enfants ce type de comportement va les conduire à une frustration permanente, car il n'y aura pas toujours des parents ou une académie pour les récompenser sans aucun rapport avec l'action faite.
Pour lutter contre l'absentéisme scolaire, il faudrait voir de plus près si le public concerné, c'est à dire les élèves suivent un enseignement qui leur corresponde vraiment. Peut être que ce que nous enseignons s'adresse à un élève idéal qui n'existe pas ou peu. C'est en fait une grande remise en cause qu'il est nécessaire de mettre en œuvre.
lundi 21 septembre 2009
CAC 40 et Physique
On peut facilement comparer les cours de bourse à un système physique. Les plus âgés se souviennent des 2CV Citroën qui lorsqu'on s'appuyait dessus oscillaient longtemps avant de se stabiliser. C'est pour cela que les véhicules sont tous équipés d'amortisseurs qui absorbent les inhomogénéités de la route avec en général des ressorts, et un système d'amortisseurs qui empêchent la voiture d'osciller longtemps. On rajoute en fait du frottement dans le système. Quand on fait de la balançoire, on s'arrête rapidement en se frottant les pieds par terre.
En physique pour réguler un système quelconque on utilise ce qu'on appelle le PID (proportionnel, intégral et dérivée). Le proportionnel indique que le signal que l'on envoie est proportionnel à une consigne donnée. L'intégral tient compte de l'ensemble des données passées, et la dérivée mesure les variations ponctuelles. Pour réguler un système on joue suivant les cas à ces trois paramètres de manière adéquate.
Si on regarde la bourse, elle n'a pas de consigne, elle évolue d'elle-même, par contre on s'aperçoit qu'elle réagit très vite aux petites variations, c'est en physique l'indication d'une trop grande importance de la dérivée. Pour compenser cela, il faut absolument rajouter de l'intégrale, c'est l'équivalent d'un frottement en physique
Pour réaliser cela à la bourse il existe plusieurs solutions:
L'une bien connue est la taxe Tobin qui consiste à taxer chaque transaction, ce qui évite que l'on achète et vende aux moindres variations de cours, car cela coûte trop cher. le système se trouve donc ralenti, et les pics de cours sont effacés, et la spéculation diminuée.
Une autre manière de freiner le système est de mettre un délai entre l'achat et la vente. Le résultat sera identique, et cela diminuera aussi les pics de cours.
Cette simple analogie entre la physique et la bourse explique pourquoi de nombreux physiciens théoriciens sont embauchés par les banques...
En physique pour réguler un système quelconque on utilise ce qu'on appelle le PID (proportionnel, intégral et dérivée). Le proportionnel indique que le signal que l'on envoie est proportionnel à une consigne donnée. L'intégral tient compte de l'ensemble des données passées, et la dérivée mesure les variations ponctuelles. Pour réguler un système on joue suivant les cas à ces trois paramètres de manière adéquate.
Si on regarde la bourse, elle n'a pas de consigne, elle évolue d'elle-même, par contre on s'aperçoit qu'elle réagit très vite aux petites variations, c'est en physique l'indication d'une trop grande importance de la dérivée. Pour compenser cela, il faut absolument rajouter de l'intégrale, c'est l'équivalent d'un frottement en physique
Pour réaliser cela à la bourse il existe plusieurs solutions:
L'une bien connue est la taxe Tobin qui consiste à taxer chaque transaction, ce qui évite que l'on achète et vende aux moindres variations de cours, car cela coûte trop cher. le système se trouve donc ralenti, et les pics de cours sont effacés, et la spéculation diminuée.
Une autre manière de freiner le système est de mettre un délai entre l'achat et la vente. Le résultat sera identique, et cela diminuera aussi les pics de cours.
Cette simple analogie entre la physique et la bourse explique pourquoi de nombreux physiciens théoriciens sont embauchés par les banques...
samedi 19 septembre 2009
La voiture électrique ou hybride?
Après plusieurs tentatives au cours des dernières années, la voiture électrique revient à la mode. Sous l'influence de l'augmentation du prix du pétrole, et des enjeux écologiques, la voiture électrique a le vent en poupe. Malheureusement la situation n'est pas aussi simple. La technologie est le point sensible. On se souvient qu'aux débuts de l'automobile, il y avait plus de voitures électriques que de voitures à moteur thermique. Les limitations de la voiture électrique il y a déjà un siècle étaient déjà autonomie, et le temps de recharge. Dès que le moteur thermique a été développé, il a rapidement pris le dessus grâce à la facilité et rapidité de remplissage du réservoir, et de l'autonomie.
Aujourd'hui le problème est quasiment le même. la batterie au plomb que nous connaissons tous a été remplacée par celles au nickel métal-hydrure,puis récemment par celles au lithium. Malgré tous les progrès récents, les deux problèmes soulevés il y a un siècle sont toujours présents: l'autonomie et le temps de recharge.
Les seules applications réalistes aujourd'hui sont celles des flottes captives comme les taxis ou les camionnettes de livraison qui font des trajets relativement courts et qui peuvent être rechargés la nuit dans un garage dédié. Pour les particuliers, il est clair qu'il y a une application pour les trajets urbains, mais le problème en France est celui de la recharge la nuit. La très grande majorité des voitures reste la nuit dans la rue, et les garages rattachés aux immeubles n'ont pas de prise électrique. Cela limite le marché aux personnes possédant un pavillon avec garage. La situation est toute différente aux Etats-Unis où les banlieues sont couvertes de maisons individuelles. Il est donc bien plus probable que le marché de la voiture électrique se développe d'abord là bas.
Pour la France, il est prévu de systèmes de changement rapide de batteries, et des bornes électriques dans les villes. Cela va demander de très gros investissements, et le coût pour l'utilisateur ne sera pas inférieur à celui de la voiture à moteur à combustion.
Des études sont en cours pour obtenir des batteries à recharge rapide, ce qui permettra de résoudre un des problèmes, par contre celui de l'autonomie est loin de l'être surtout s'il s'agit de véhicules de dimension familiale.
La solution la plus pratique pour l'instant est celle de la voiture hybride de type de la Prius de Toyota, ou ce qui semblerait plus simple celle de la voiture électrique ayant un moteur thermique pour recharger les batteries.
La vraie question que l'on peut se poser est: pourquoi veut on des voitures électriques? Il y a plusieurs réponses à cela: d'une part l'idée que cela fera du bien à la planète en consommant moins de combustibles fossiles, mais ceci n'est vrai que si l'électricité n'est pas produite par des hydrocarbures, ce qui n'est pas évident dans la majorité des pays sauf la France qui grâce au nucléaire utilise peu le pétrole ou le gaz. L'autre raison qui me paraît plus importante est celle de purifier l'air des villes qui est source de problèmes de santé.
Il semble donc plus prometteur de développer la voiture hybride rechargeable qui a les avantages des deux systèmes à la fois. L'avenir dira qui de Renault qui a fait le choix du tout électrique ou de PSA qui développe l'hybride a raison.
Aujourd'hui le problème est quasiment le même. la batterie au plomb que nous connaissons tous a été remplacée par celles au nickel métal-hydrure,puis récemment par celles au lithium. Malgré tous les progrès récents, les deux problèmes soulevés il y a un siècle sont toujours présents: l'autonomie et le temps de recharge.
Les seules applications réalistes aujourd'hui sont celles des flottes captives comme les taxis ou les camionnettes de livraison qui font des trajets relativement courts et qui peuvent être rechargés la nuit dans un garage dédié. Pour les particuliers, il est clair qu'il y a une application pour les trajets urbains, mais le problème en France est celui de la recharge la nuit. La très grande majorité des voitures reste la nuit dans la rue, et les garages rattachés aux immeubles n'ont pas de prise électrique. Cela limite le marché aux personnes possédant un pavillon avec garage. La situation est toute différente aux Etats-Unis où les banlieues sont couvertes de maisons individuelles. Il est donc bien plus probable que le marché de la voiture électrique se développe d'abord là bas.
Pour la France, il est prévu de systèmes de changement rapide de batteries, et des bornes électriques dans les villes. Cela va demander de très gros investissements, et le coût pour l'utilisateur ne sera pas inférieur à celui de la voiture à moteur à combustion.
Des études sont en cours pour obtenir des batteries à recharge rapide, ce qui permettra de résoudre un des problèmes, par contre celui de l'autonomie est loin de l'être surtout s'il s'agit de véhicules de dimension familiale.
La solution la plus pratique pour l'instant est celle de la voiture hybride de type de la Prius de Toyota, ou ce qui semblerait plus simple celle de la voiture électrique ayant un moteur thermique pour recharger les batteries.
La vraie question que l'on peut se poser est: pourquoi veut on des voitures électriques? Il y a plusieurs réponses à cela: d'une part l'idée que cela fera du bien à la planète en consommant moins de combustibles fossiles, mais ceci n'est vrai que si l'électricité n'est pas produite par des hydrocarbures, ce qui n'est pas évident dans la majorité des pays sauf la France qui grâce au nucléaire utilise peu le pétrole ou le gaz. L'autre raison qui me paraît plus importante est celle de purifier l'air des villes qui est source de problèmes de santé.
Il semble donc plus prometteur de développer la voiture hybride rechargeable qui a les avantages des deux systèmes à la fois. L'avenir dira qui de Renault qui a fait le choix du tout électrique ou de PSA qui développe l'hybride a raison.
mercredi 29 juillet 2009
La grippe AH1N1
Pourquoi la France commande-t-elle des millions de doses de vaccins contre une épidémie possible de grippe non dangereuse? On constate que cette maladie se propage très vite dans le monde, mais on s'aperçoit aussi qu'elle n'est pas dangereuse. En réalité moins dangereuse que la grippe saisonnière. Quelles raisons y a-t-il à ce que tant de moyens soient mis en œuvre par le gouvernement? On peut en citer quelques unes:
1- Depuis le syndrome de la transmission du SIDA par transfusion sanguine qui a coûté cher à certains hommes et femmes politiques, les gouvernants se méfient et se protègent.
2- Le "principe de précaution" inscrit dans la constitution française oblige à redoubler de vigilance, et fait perdre le sens des responsabilités.
3- Un financement bienvenu des industriels de la pharmacie.
4- Une opération politique qui tombe à pic, de façon à saturer les media à la rentrée de septembre où on s'attend à une augmentation du chômage.
5- Il est utile de montrer que l'Etat s'occupe de nous, et nous protège, sinon à quoi servirait il? Il nous faut des ennemis et des dangers à combattre, ceux-ci pouvant être réels ou surdimensionnés.
Il est à remarquer qu'après une brève intervention du Dr. Bernard Debré, député UMP indiquant que cette grippe A n'était pas dangereuse, on n'entend que le son de cloche du danger de la grippe.
1- Depuis le syndrome de la transmission du SIDA par transfusion sanguine qui a coûté cher à certains hommes et femmes politiques, les gouvernants se méfient et se protègent.
2- Le "principe de précaution" inscrit dans la constitution française oblige à redoubler de vigilance, et fait perdre le sens des responsabilités.
3- Un financement bienvenu des industriels de la pharmacie.
4- Une opération politique qui tombe à pic, de façon à saturer les media à la rentrée de septembre où on s'attend à une augmentation du chômage.
5- Il est utile de montrer que l'Etat s'occupe de nous, et nous protège, sinon à quoi servirait il? Il nous faut des ennemis et des dangers à combattre, ceux-ci pouvant être réels ou surdimensionnés.
Il est à remarquer qu'après une brève intervention du Dr. Bernard Debré, député UMP indiquant que cette grippe A n'était pas dangereuse, on n'entend que le son de cloche du danger de la grippe.
samedi 25 juillet 2009
Contribution climat-énergie
La contribution climat-énergie plus connue sous le nom de "taxe carbone" a pour objectif de faire baisser en France la consommation des produits à base de charbon, pétrole et gaz. Ce faisant ce sera une participation à la diminution des émissions de gaz carbonique permettant de limiter l'effet de serre, et donc le réchauffement climatique.
En pratique cela va se traduire par de nouvelles taxes sur les carburants, le fioul domestique et le gaz. Nous savons déjà que cette taxe existe puisque les carburants sont taxés par la TVA comme tous les produits, mais aussi la TIPP et la TVA sur la TIPP. Cette nouvelle taxe ne fera que se rajouter aux autres. Il est clair que quelques centimes de plus sur les prix des carburants ne vont pas changer le comportement des utilisateurs. Beaucoup de personnes ont besoin de leur véhicule pour leurs déplacements, et elles ne pourront pas faire autrement. La civilisation a changé, les banlieues se sont étendues, et les transports en commun ne peuvent pas remplir tous nos besoins de déplacement.
Au cours des dernières années le prix du gazole est passé de 75 centimes le litre à près de 150, sans que notre comportement change réellement. Les quelques centimes de plus de cette nouvelle taxe seront absorbés par les consommateurs sans que cela les affecte vraiment. Il est prévu de dédommager les groupes de personnes qui seront les plus affectées par cette augmentation par un "chèque vert". Ce sera très difficile de le mettre en place, et de toute manière une nouvelle usine à gaz dont les différents gouvernements ont le secret. Au lieu d'aller vers la simplification, nous allons en permanence vers de plus en plus de complexité.
L'efficacité de notre fonctionnement serait plutôt de faire des systèmes simples avec le minimum d'exceptions. Peut être est-ce notre langue qui nous y incite : des règles générales, mais aussi chaque fois des exceptions qui s'expliquent très bien historiquement mais qui font qu'elle est compliquée à apprendre pour nous et encore plus pour les étrangers.
La "contribution climat-énergie" est une nouvelle taxe qui est justifiée par des considérations écologiques. Son effet sera quasi négligeable sur le climat, mais permettra à l'état de récupérer quelques milliards d'euros dont il a besoin. Malheureusement les gouvernements de tous les pays fonctionnent ainsi. La vérité ne se vend pas bien....
En pratique cela va se traduire par de nouvelles taxes sur les carburants, le fioul domestique et le gaz. Nous savons déjà que cette taxe existe puisque les carburants sont taxés par la TVA comme tous les produits, mais aussi la TIPP et la TVA sur la TIPP. Cette nouvelle taxe ne fera que se rajouter aux autres. Il est clair que quelques centimes de plus sur les prix des carburants ne vont pas changer le comportement des utilisateurs. Beaucoup de personnes ont besoin de leur véhicule pour leurs déplacements, et elles ne pourront pas faire autrement. La civilisation a changé, les banlieues se sont étendues, et les transports en commun ne peuvent pas remplir tous nos besoins de déplacement.
Au cours des dernières années le prix du gazole est passé de 75 centimes le litre à près de 150, sans que notre comportement change réellement. Les quelques centimes de plus de cette nouvelle taxe seront absorbés par les consommateurs sans que cela les affecte vraiment. Il est prévu de dédommager les groupes de personnes qui seront les plus affectées par cette augmentation par un "chèque vert". Ce sera très difficile de le mettre en place, et de toute manière une nouvelle usine à gaz dont les différents gouvernements ont le secret. Au lieu d'aller vers la simplification, nous allons en permanence vers de plus en plus de complexité.
L'efficacité de notre fonctionnement serait plutôt de faire des systèmes simples avec le minimum d'exceptions. Peut être est-ce notre langue qui nous y incite : des règles générales, mais aussi chaque fois des exceptions qui s'expliquent très bien historiquement mais qui font qu'elle est compliquée à apprendre pour nous et encore plus pour les étrangers.
La "contribution climat-énergie" est une nouvelle taxe qui est justifiée par des considérations écologiques. Son effet sera quasi négligeable sur le climat, mais permettra à l'état de récupérer quelques milliards d'euros dont il a besoin. Malheureusement les gouvernements de tous les pays fonctionnent ainsi. La vérité ne se vend pas bien....
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