Bonjour,
Le journal économique "Les Echos" vient de publier ce 29 février 2016 un article sur la Fusion Froide
skip to main |
skip to sidebar
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Présentation
Né à Marseille le 26 juin 1946, dans une famille d'immigrés arméniens. J'ai vécu dans une double culture: orientale par mes parents, et française par l'école et la société. Par la suite j'ai fait plusieurs séjours aux Etats-Unis qui m'ont permis de découvrir une autre façon de vivre et de penser.
Etudes
J'ai toujours aimé la science et la technique. Quand j'avais 6 ou 7 ans, je voulais être mécanicien, puis un peu plus tard: ingénieur-inventeur. Comme j'étais bon en math et en physique, après mes études secondaires, j'ai suivi les classes préparatoires au Lycée Thiers à Marseille pour devenir ingénieur.
A l’École Nationale Supérieure d’Électricité et de Mécanique de Nancy que j'ai rejointe en 1966, je me suis passionné pour l'électronique et la physique nucléaire. Après les deux années harassantes des classes préparatoires, les trois passées à Nancy ont été une vraie décompression.
A la suite de quelques visites organisées dans les usines des environs, j'ai vite compris que le métier d'ingénieur n'était pas pour moi. Ce que je voulais faire c'était de la recherche. Par un grand hasard, le Professeur Michel Bienfait de Marseille avait mis une annonce à l’École pour chercher un Assistant qui passerait avec lui une thèse sur la cristallographie de surface.
Je ne connaissais pas grand chose aux surfaces, et la cristallographie était un domaine qui ne m'attirait pas vraiment. Mais le courant est vite passé, et j'ai commencé une thèse de docteur-ingénieur sur "les vibrations des atomes de surface du graphite" à la Faculté des Sciences de Luminy.
Deux ans après, je suis parti à Paris à l’École Nationale Supérieure de Chimie de Paris. Avec le Dr. Gordon Rhead, j'ai passé une thèse d’État sur "La croissance de films minces de plomb sur l'or".
A l’École Nationale Supérieure d’Électricité et de Mécanique de Nancy que j'ai rejointe en 1966, je me suis passionné pour l'électronique et la physique nucléaire. Après les deux années harassantes des classes préparatoires, les trois passées à Nancy ont été une vraie décompression.
A la suite de quelques visites organisées dans les usines des environs, j'ai vite compris que le métier d'ingénieur n'était pas pour moi. Ce que je voulais faire c'était de la recherche. Par un grand hasard, le Professeur Michel Bienfait de Marseille avait mis une annonce à l’École pour chercher un Assistant qui passerait avec lui une thèse sur la cristallographie de surface.
Je ne connaissais pas grand chose aux surfaces, et la cristallographie était un domaine qui ne m'attirait pas vraiment. Mais le courant est vite passé, et j'ai commencé une thèse de docteur-ingénieur sur "les vibrations des atomes de surface du graphite" à la Faculté des Sciences de Luminy.
Deux ans après, je suis parti à Paris à l’École Nationale Supérieure de Chimie de Paris. Avec le Dr. Gordon Rhead, j'ai passé une thèse d’État sur "La croissance de films minces de plomb sur l'or".
Contact
Vous pouvez me joindre:
jpbiberian@yahoo.fr
Tél: +33 660 14 04 85
jpbiberian@yahoo.fr
Tél: +33 660 14 04 85
le lien de cet article est ci dessous
RépondreSupprimerhttp://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/021687191342-la-fusion-froide-enflamme-la-physique-1203524.php
il est nul cet article !
RépondreSupprimerpourquoi nommer ITER en exemple ? ITER est sur une fausse piste ! il tente de "maintenir" un T° élevée dans un confinement ... comme si on voulait faire bouillir une cocotte minute à 1000° ... et maintenir cette T° ...
Évidemment dans ces conditions c'est impossible.
Mais, si on imagine AUTRE chose que devoir "CASSER" la barrière de Coulomb...
Déjà, un système impulsionnel est bien plus efficace pour cela. Ce qui est ridicule c'est de penser "maintenir" une T° élevée.
Il faudra en apprendre plus sur les forces qui lient les atomes avant que de savoir ce qui se passe dans les systèmes à LENR ... car : ça se passe !
je critiquerais l'article non pas sur ce détail mais sur bien pire pour un article dans un journal économique.
Supprimeril passe a coté des 50 millions investis dans IH par woodford, et dans le montage financier que j'ai découvert avec l'aide de nevalinna, et que n'importe quel journal financier sait analyser bien mieux et avec bien plus de sources sérieuses que nous.
il passe a coté des projets japonais, Nedo/impact, des effor de Mahadev Srinivasant en inde, des annonces chinoises dans le parc de Baishishan , de LENRG, de Airbus, des gens présents ou excusés à la réunion d'Oxford (LENRG), ...
il est passé a coté des questions sur l'impact de l'énergie sur la croissance (cf Gael Giraud, mais bien d'autre que j'ai retrouvé péniblement avec l'aide de NextBigFuture et Jed Rothwell)
bref il est passé a coté de toute ce pour quoi on paye des journalistes économiques.
L'article de La Tribune est mieux, plus économique, mais on est loin de ce qu'il faudrait, et même de celui de Fortune sur Darden.
d'un autre coté une couverture médiatique ca fait du bien.
les gens sérieux vont investiguer, et en minutes 10 de google et de twitter, on a l'essentiel.
http://media.wix.com/ugd/0197c4_5a7538d257284d7ca7c3318a76f27e8e.pdf
RépondreSupprimerMerci RIRI de ces tentatives d'explications ... il y a encore beaucoup de "si" .... mais ça semble sur une bonne voie.
RépondreSupprimerJe suis certain qu'on est loin d'avoir exploré les modes vibratoires ...
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer