Ce dernier jour de la conférence n’a duré qu’une matinée qui
a commencé par une exposé de Michel Vandenberghe sur LENR-Cities, une
entreprise qu souhaite fédérer les chercheurs du domaine.
Volodymir Dubinko, d’Ukraine a développé la théorie des « discrete
beathers » qui permettrait que localement la température soit plus élevée
que dans le reste du cristal. Cela expliquerait en particulier que l’excès de
chaleur augmente avec la température. Cette même approche serait compatible avec
les observations de transmutations biologiques, car des « discrete
beathers » existeraient aussi au niveau de l’ADN.
David Szumski a développé une théorie de la température
montrant que dans ce modèle aussi, la température locale pourrait être
supérieure à celle de l’environnement.
Akito Takahashi de Technova au Japon a clôturé la conférence
en développant sa théorie de la fusion faisant intervenir des électrons
bosoniques.
Conclusion de cette conférence :
Je retiens de ICCF19 tout d’abord le grand nombre de
participants, 480 personnes, le plus grand nombre depuis que la série a
commencé. Par ailleurs dans l’assistance, il y avait plus d’industriels que d’habitude,
et pour la première fois les investisseurs étaient aussi présents. Ce
changement montre que nous venons de passer un cap de crédibilité, et que bien
que la science officielle ignore toujours nos activités, les industriels et les
financiers se préparent au changement en cours.