Jacques Ruer a démontré que l’on pouvait facilement régler
le problème de l’emballage d’une réaction de fusion froide, en utilisant ce qui
est connu en chimie industrielle. Il est parti de l’hypothèse que la réaction
de fusion froide augmente avec la température, il est alors clair que si rien n’est
fait, on va aboutir à une fusion du combustible. Par contre si on tient compte
du refroidissement avec par exemple une circulation d’eau, il est possible de
régler le débit d’eau pour que le système atteigne un équilibre, tout en
fournissant de l’eau à une température utilisable. Par ailleurs, même si le
Coefficient de Performances est faible, en mettant en parallèle un grand nombre
de cellules, le COP va sensiblement augmenter.
Philippe Hatt a montré son modèle utilisant un calcul simple
permet de recalculer l’énergie du proton et du neutron.
Bob Greyner de MFMP a présenté différents résultats
expérimentaux permettant d’observer des transmutations.
Katinsky de LENRIA a présenté une expérience d’électrochimie
en collaboration avec Melvin Miles permettant d’être reproduite facilement par
des laboratoires universitaires. Ils vont utiliser des électrodes en palladium bore
fabriquée il y a quelques années et qui avaient donné de la chaleur anormale de
manière très reproductible. Une fois l’expérience prête, elle sera envoyée gratuitement
à ces laboratoires universitaires qui pourront faire l’expérience.
La conférence s’est terminée par un dîner de gala, au cours
duquel, il a été annoncé que la prochaine conférence ICCF 21 aurait lieu sur la
côte Est des Etats-Unis durant l’été 2018.
Fabrice David a reçu la médaille de bronze du meilleur
poster. La médaille Préparata a été attribuée à Tom Claytor pour ses travaux à
Los Alamos sur la production de tritium.
Merci beaucoup pour votre article, très intéressant
RépondreSupprimerMerci pour ton blog que je découvre à l’instant.
RépondreSupprimerY a t il des mises à jours de ces travaux?
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